Construit dans le contexte de l’Exposition universelle de Bruxelles en 1958, le Palais des Congrès de Liège profite d’une architecture avant-gardiste et d’une infrastructure hors du commun
PERSONNE MORALE : CENTRE CULTUREL DE WAREMME ASBL (ASSOCIATION SANS BUT LUCRATIF)
SIÈGE : PLACE DE L’ÉCOLE MOYENNE, 9 B-4300 WAREMME (PROVINCE DE LIÈGE)
NUMÉRO D’ENTREPRISE : BE 0475 430 454
TRIODOS BANQUE : BE36 5230 8023 9081
BELFIUS : BE92 0682 3712 5823
RPM TRIBUNAL DE L’ENTREPRISE DE L’ARRONDISSEMENT JUDICIAIRE DE LIÈGE (PLACE ST LAMBERT 30/003, 4000 LIÈGE)
2 fréquences 📻 dans l’Ardenne belge 🎙 96.2 FM à Vielsalm/Gouvy et dans l’Eifel • 89.1 FM à Bastogne/Houffalize et sa région 🎵
– aider à valoriser toutes les initiatives locales, à promouvoir tous les talents qui ne demandent qu’à éclore et à mettre en lumière les multiples qualités de toute l’Ardenne.
Découvrez de nombreux objets relatifs à l’histoire de la commune au travers de l’histoire du Fort de Fléron, de la tragédie de Forêt et des véhicules de l’US Army.
Association d’Éducation Permanente et Populaire
– Promotion de l’Interculturalité et du Bien Commun
– Autosocioconstruction des savoirs pour une Autosocioconstruction des contre-pouvoirs
– Lutte contre le racisme et l’Extrême-Droite
Infor-Femmes Liège est un planning familial dont l’objectif est de promouvoir le développement culturel, social, affectif, sexuel et personnel de la femme, de l’homme, du couple et de la famille, dans un esprit de stricte neutralité et de pluralisme.
Le Préhistomuseum est un muséoparc axé sur la Préhistoire, situé en Belgique. Le musée et la grotte de Ramioul sont nichés dans une réserve Natura 2000, au bord de la Meuse, à Flémalle, dans la province de Liège, en région wallonne. Le site se trouve dans une forêt de 30 hectares aux portes des Ardennes belges.
La grotte de Ramioul et ses activités réparties dans le parc accueillent à la fois les familles, les écoles et tous types de groupe.
Historique
Grotte de Ramioul et Préhistosite
La grotte de Ramioul fut découverte en 1911 par des membres de l’association Les Chercheurs de la Wallonie. Différentes campagnes de fouilles y ont mis au jour plusieurs niveaux correspondant à des occupations successives entre il y a 70 000 ans (Homme de Néandertal et Moustérien) et 2300 av. J.-C. (fin du Néolithique), incluant des vestiges aurignaciens produits par Homo sapiens1.
À la suite de ces découvertes, un petit musée fut créé. Il fut remplacé par le Préhistosite en 1994, grâce à un financement du FEDER.
Préhistomuseum
Le musée fondé en 19942, sous le nom « Préhistosite de Ramioul », ferma ses portes en 2013 en vue d’un réaménagement complet3. Il accueillait alors environ 40 000 visiteurs par an et occupait une quarantaine de personnes3.
Après trois années de travaux3 et 9,6 millions d’euros d’investissement2, le site, rebaptisé Préhistomuseum, a rouvert ses portes au public le 7 février 2016.
Ligne directrice
Le Préhistomuseum est un muséoparc et un musée d’archéologie à la fois, qui met ses collections en perspective en s’alignant sur les questionnements de notre société. En affirmant que l’humanité est universelle mais qu’elle s’exprime différemment dans le temps et dans l’espace, le Musée est un musée de l’Homme qui cherche à comprendre et à faire comprendre la complexité du comportement humain. Pour ce faire, il repère dans la Préhistoire et l’archéologie des faits qui sont porteurs de sens pour nous aujourd’hui et qui peuvent stimuler une réflexion philosophique sur la destinée de l’humanité. Le Musée cherche à s’adresser au plus grand nombre en rendant accessible intellectuellement, socialement et physiquement le patrimoine dont il a la garde et la responsabilité. L’équipe du Musée qualifie son approche de « Pop Archéologie », c’est-à-dire, « essayer de faire un musée pour ceux qui n’aiment pas les musées comme pour ceux qui les aiment ! »
Le Préhistomuseum est constitué de 4 composantes indissociables et complémentaires, qui forment le socle du projet culturel, scientifique et touristique de l’institution.
Découvrir notre patrimoine et ses ressources
Le musée conserve d’importantes collections de Préhistoire comme d’autres périodes de notre histoire, un site archéologique, des ressources documentaires et un vaste patrimoine naturel.
Le(s) patrimoine(s) participe(nt) à la construction des identités liées aux spécificités des territoires et des époques. Mais au-delà du temps et de l’espace, le musée veille à souligner les universaux communs à toute l’humanité plutôt qu’à exacerber les particularismes. Il espère ainsi contribuer significativement à une éducation populaire où la diversité des expressions culturelles qu’il donne à voir et à comprendre développe un esprit critique qui nuance nos à priori et nos certitudes. Les mots progrès, évolution et civilisation sont ainsi mis en questionnements utiles face aux débats qui animent notre société sur le « vivre ensemble ».
Comprendre l’écosystème de l’humanité
Le musée cherche à comprendre et à faire comprendre le comportement humain dans toutes ses dimensions : sociales, culturelles, économiques et environnementales. Les faits archéologiques choisis comme sujets de recherche, pour être exposés ou animés, sont approchés de manière systémique afin d’expliciter l’interaction complexe et simultanée des éléments constitutifs de l’écosystème au sein duquel les sociétés humaines sont en constante mutation.
L’approche « écosystémique » convoque conjointement toutes les ressources patrimoniales du Musée et la diversité des préconceptions de ses différents usagers. Le Musée montre ce qu’il ne sait pas et pourquoi il est en recherche. Il coopère avec ses usagers pour enrichir, par l’expérience des patrimoines, leurs réflexions communes.
Se déconnecter, se ressourcer, se reconstruire en tant qu’individu ou/et groupe d’individus
Parce que la Préhistoire évoque dans l’imaginaire collectif le dénuement, la survie, la simplicité, le paradis perdu ou la primitivité, et parce que l’infrastructure du Musée offre des espaces contrastés (en pleine nature, dans le noir, pieds nus, au cœur des réserves…), le Préhistomuseum est un lieu propice à la découverte, au plaisir, au bien-être et à la méditation.
« L’esprit du lieu » assure des conditions favorables et variées à l’exploration de nos questions existentielles « d’où venons-nous ? Qui sommes-nous ? Où allons-nous ? », facilitée par une approche sensorielle et émotionnelle qui stimule la réflexion. Par exemple, l’expérience de « l’humanité primitive » par la reproduction de gestes simples invite au constat de l’immanence de la pensée complexe ; l’immersion dans la nature convoque la culture humaine en interrogeant l’inné et l’acquis. Le Musée invite naturellement la question du bonheur : « tout compte fait, sommes-nous plus heureux que nos ancêtres ? ».
C’est pourquoi le Préhistomuseum se définit comme un Musée, comme un « Musée de l’Homme » et comme « le parc d’aventures de la Préhistoire pour faire l’expérience de l’humanité ».
Solliciter des expertises professionnelles et des services professionnels et/ou professionnalisants
Le Préhistomuseum cherche à développer ses savoirs, savoir-faire et savoir-être pour réaliser au mieux sa raison d’être au service de ses publics. Cette entreprise nécessite d’améliorer constamment l’organisation, de poursuivre le développement de méthodologies spécifiques et appropriées à la meilleure exécution des fonctions muséales chargées de sens. L’approche économique via le prisme de l’économie de la fonctionnalité et de la coopération, l’amélioration de l’organisation par le management de la qualité et de l’intelligence collective, l’adoption d’un mode de gestion collaborative par l’usage de la technologie sociale de l’holacratie, sont des expériences entrepreneuriales qui, si elles sont concluantes, pourraient peut-être inspirer d’autres entreprises culturelles et touristiques de demain.
Le Préhistomuseum est en quelque sorte un laboratoire de gestion muséale.
Le Laboratoire d’archéologie expérimentale, le Centre de conservation, d’étude et de documentation et le Laboratoire de médiation développent quant à eux des services et des méthodes de travail et de formation qui ne demandent qu’à être partagés avec des collègues d’autres institutions ou des étudiants dans les domaines de la Préhistoire, de la muséologie, de la médiation, du tourisme et du patrimoine, de l’économie.
Le Préhistomuseum cherche, entreprend, expérimente avec modestie et ambition, avec comme objectif principal d’être utile à ses usagers et au patrimoine4.
Autres activités
En plus de ses expositions permanentes et de ses expériences, le musée accueille des expositions temporaires.
Outre le musée, on trouve sur le site des ateliers permettant de s’initier aux techniques préhistoriques, telles que la taille des pierres, l’allumage du feu, la chasse à l’arc ou au propulseur.
Un archéorestaurant permet de manger des repas compatibles avec les ressources disponibles durant la Préhistoire.
Grottes voisines
À quelques centaines de mètres de la grotte de Ramioul, sur le territoire d’Engis, se trouve la grotte Lyell, ainsi nommée parce que Charles Lyell la visita en 1860 pour vérifier les assertions de Philippe-Charles Schmerling, qui l’avait découverte en 1831.
La grotte de Rosée, également à Engis, doit son nom au patronyme d’un ancien propriétaire. Ces deux cavités hébergent une faune cavernicole unique en Belgique5.
Comme la grotte aux végétations toute proche, ces cavités sont aujourd’hui menacées par l’activité d’une carrière proche6.
En 2003 fut découverte la grotte de Nicole (nommée en l’honneur de Nicole Hubart, épouse de Jean-Marie Hubart). Cette grotte est une galerie qui constitue un important prolongement de l’étage inférieur de la grotte de Ramioul.
En face, sur la rive gauche de la Meuse, se trouvent les grottes Schmerling et celles de Chokier, sur le territoire communal de Flémalle.
La Bibliothèque Chiroux est la principale bibliothèque publique de Liège. Avec plus d’un million de documents, il s’agit de la plus grande bibliothèque publique belge francophone, tant au niveau de ses collections que de son personnel.
Étymologie
Historique
Une bibliothèque itinérante en province de Liège est créée en 1921 afin de fournir des lots de livres aux bibliothèques locales. Une bibliothèque pour adultes ouvre en 1936, rue Darchis à Liège avant de déménager boulevard Piercot en 1948. La bibliothèque propose alors une salle de lecture, une section pour les adultes et une autre pour les enfants. Une section pour les adolescents voit le jour en 1955.
À partir de 1972, la Province de Liège entame une collaboration avec la Ville de Liège pour cogérer la bibliothèque, installée depuis deux ans dans la rue des Croisiers. Dans les années 1980, la bibliothèque devient la première de la Communauté française de Belgique à être totalement informatisée.
En 2005, à la suite de problèmes financiers de la Ville de Liège, la Province de Liège reprend seule la gestion de la bibliothèque Chiroux. L’année suivante, un réseau informatique est créé autour d’un nouveau logiciel (Aleph). D’autres bibliothèques intègrent le réseau et un catalogue collectif des bibliothèques de la province de Liège est mis en ligne.
À partir de 2012, la bibliothèque propose à l’emprunt des liseuses électroniques ainsi que l’accès à une plateforme de livres en consultation en ligne. La section de prêt pour adultes est également avec équipée d’un nouveau système automatisé grâce à l’utilisation de la RFID. L’année suivante, la bibliothèque propose le téléchargement de livres numériques à partir d’une plateforme de prêt en ligne.
En novembre 2014, une section supplémentaire est ouverte : une artothèque qui prête gratuitement des œuvres d’art au grand public1.
En 2014, la Bibliothèque Chiroux est la plus grande bibliothèque publique reconnue par la Fédération Wallonie-Bruxelles. L’ensemble de ses sections rassemble environ un million de documents (livres, CD, DVD, revues, journaux, œuvres d’art, etc.)2.
Anciens fonds
De 1970 à 2005, la Bibliothèque des Croisiers-Chiroux abritait le fonds Ulysse Capitaine qui a déménagé en 2010 dans des nouveaux locaux en Féronstrée à Liège3. Elle abritait également le Fonds d’histoire du Mouvement wallon et la Bibliothèque des dialectes de Wallonie, aujourd’hui transférés au sein des collections du Musée de la vie wallonne de Liège.
Agir par la Culture est un magazine trimestriel qui traite de thèmes politiques et culturels. Il est édité par le mouvement Présence et Action Culturelles qui développe une action d’éducation permanente dans toute la Belgique francophone via un réseau d’animateurs de terrain répartis en 12 antennes régionales.
Créé en 2005, d’abord intitulé PACtualité, il tenait alors lieu de bulletin d’information sur la vie du mouvement. Devenu Agir par la Culture en 2008, il se transforme peu à peu en un magazine ouvert sur l’actualité sociale, politique, médiatique, artistique et culturelle et les initiatives qui tentent d’élaborer des alternatives au capitalisme culturel.
Diffusé à 10.000 exemplaires en Belgique francophone, Agir par la Culture est conçu par un comité de rédaction qui regroupe aussi bien des salarié·e·s de PAC, actif·ve·s sur le terrain de l’éducation populaire, que des journalistes et chroniqueur·euse·s bénévoles qui œuvrent dans leurs secteurs respectifs (théâtre, université, presse, enseignement…).
L’édition du magazine Agir par la Culture et de son site Internet reçoivent le soutien du Service Éducation permanente du Ministère de la Culture de la Fédération Wallonie Bruxelles et de la Loterie Nationale.